Une voix ancienne, portée jusqu’ici par le silence des ancêtres
A propos du marabout Bambo
Avant même de savoir parler, j’écoutais les murmures. Ceux qu’on n’entend qu’en tendant l’âme. Dans ma famille, on ne choisit pas la voie : on l’honore. Mon grand-père m’a transmis bien plus que des rituels. Il m’a appris à regarder au-delà du visible, à respecter le rythme du monde, à soigner là où la parole échoue. Aujourd’hui, je vis entre Bruxelles et Luxembourg. Ce que je fais ici, c’est le prolongement d’une mémoire plus vaste que moi. Une mémoire vivante, exigeante, qui ne s’achète pas. Je n’ai rien à prouver, seulement à transmettre — à ceux qui sentent que le monde ne s’arrête pas à ce qu’on voit.
Un Marabout enraciné, à l’écoute des signes que vous ne voyez pas
"Ce que vous ressentez sans l’expliquer… je le vois, je l’écoute, je le transforme."
Il y a des douleurs que la parole ne suffit pas à exprimer. Des blocages qui ne viennent ni du hasard, ni de la faute. À travers une pratique héritée des anciens, je vous aide à libérer ce qui vous retient. Mon rôle n’est pas de prédire, mais de révéler, de nettoyer, de réorienter vos énergies. En Belgique comme au Luxembourg, je vous accompagne dans le respect des forces qui nous traversent.
Un héritage transmis, jamais improvis
Ce que les années n’ont pas effacé, elles l’ont gravé en moi
Je n’ai jamais choisi ce chemin. Il s’est imposé à moi, lentement, comme une évidence que l’on reconnaît plus qu’on ne la découvre. Mon histoire commence loin d’ici, dans un village d’Afrique de l’Ouest, là où l’on ne parle pas des esprits à voix haute, mais où on les sent à chaque battement de cœur.
Mon grand-père était un homme silencieux, mais il savait lire les saisons de l’âme. C’est lui qui, le premier, a vu en moi une sensibilité différente. À l’âge de 7 ans, j’étais capable de ressentir les émotions d’autrui sans qu’un mot ne soit dit. À 10 ans, j’avais appris à interpréter les signes du feu, de l’eau et des coquillages sacrés.
Les années ont passé. J’ai vu des guérisons là où la médecine ne savait plus quoi faire. J’ai assisté à des réconciliations que tout le monde croyait impossibles. Mais j’ai aussi traversé mes propres tempêtes : jalousie, isolement, doutes. Ce n’est pas un don qu’on porte facilement.
Ma route m’a mené à rencontrer d’autres maîtres, d’autres traditions — au Bénin, au Sénégal, en Guinée. Chacun m’a laissé un savoir, un rituel, une parole sacrée que je garde encore aujourd’hui. Ce n’est pas la quantité d’années qui compte, mais ce que l’on en fait.
En arrivant en Europe, j’ai compris qu’ici, les gens souffrent souvent en silence. En Belgique, au Luxembourg, j’ai vu des hommes et des femmes brisés par le manque, le doute, la solitude ou l’injustice. Et c’est pour eux que je continue.
Mon travail aujourd’hui est un mélange de tout ce que j’ai vécu : la rigueur des anciens, l’écoute des âmes modernes, et cette force discrète que les ancêtres m’ont confiée pour rétablir ce qui est déséquilibré.
Ce que je fais, je le fais avec engagement. Pas pour convaincre. Pas pour séduire. Mais pour transmettre ce qui m’a été confié, à ceux qui en ont besoin — au moment juste.
0 sous-traitance, 0 assistant
1 seul téléphone, éteint entre chaque consultation
%
100 % des objets rituels préparés en dehors d’Internet
3 zones prioritaires : Bruxelles, Liège, Luxembourg-Ville
Leurs mots sont les reflets des résultats, pas des promesses





